Caleb Arkworth

{ IDENTITY

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Job

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{ DESCRIBE YOURSELF

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Caleb est type simplement atypique. Les deux mots qui le décriraient le mieux seraient sûrement gouailleur et terriblement paresseux. Paresseux, car Caleb est un flemmard légendaire, qui rechigne à l’exécution de la moindre tâche et ne se cache pas pour le faire savoir, et gouailleur car il semble faire partie de sa nature de se plaire à se moquer de tous ceux croisant sa route. S’il le pouvait, Caleb passerait ses journées à dormir, isolé des autres, non pas par misanthropie, pas du tout, simplement pour pouvoir somnoler tranquillement sans qu’on ne vienne l’interrompre, ou même simplement faire du bruit près de lui. À vrai dire, Caleb est un mauvais garçon. Il n’aime pas les héros, et se moque de ceux qui se vantent de défendre le bien. Non pas que le bien le rechigne, loin de là. En vérité, Caleb ne se considère lui même pas du tout comme un mauvais garçon, il ne pense pas même que la Confrérie fasse le mal, non, il pense sincèrement se battre pour la juste cause. Simplement, comme il se plaît à le répéter, le bien et le mal ne sont que des valeurs subjectives, le bien d’un être est le mal d’un autre, c’est ainsi, rien n’y changera, d’où la dimension ridicule de se prendre pour un défenseur du bien universel. Or, compte tenu du fait que sa notion personnelle du bien n’a pas grand chose à voir avec la majorité des personnes se ventant de faire le bien, il se plaît à se moquer d’eux sans la moindre gène. Cependant, n’allez pas croire que Caleb est un enfoiré de première. Car si, certes, au premiers abords, Caleb envoie facilement balader les gens, il lui arrive de s’attacher aux gens. Seulement, il trouve la majorité des gens superficiels, or, il déteste tout ce qui est superficiel. Mais, dès lors qu’il croise la route d’une personne préférant penser par elle même, croyant à des idéaux que cette personne se serait forgée et prête à les suivre coûte que coûte, quitte à se casser la gueule en beauté, dès lors qu’il croise une telle personne, une personne intéressante, en sorte, il se montre directement plus sympathique, et s’attache très facilement à de tels êtres. Alors, bien entendu, faut chercher, mais mine de rien, c’est pas si dur que ça à trouver. Un autre point qui le caractérise : Caleb est nihiliste. Il se fout globalement de tout, tant que cela ne l’empêche pas de dormir. Bien entendu, il a des opinions, et fortes avec ça, mais pour les tracas du quotidien, en règle général, ça ne l’intéresse pas, il ne s’en soucie pas, ce qui ne l’empêche pas d’être quelqu’un de particulièrement délicat et subtil. Enfin, un dernier élément : Caleb souffre d’hypermnésie. À l’opposé de l’amnésie, l’hypermnésie est une suractivité de la zone mémorielle du cerveau, cela ayant pour effet de le faire se souvenir de tout, du nécessaire comme du futile. Vu comme ça, le fait d’avoir une mémoire photographique peut paraître simplement génial, mais cela s’avère en réalité un enfer. Car lorsque vous regardez les infos et que vous voyez des carnages, lorsque vous allez dans la rue et que vous croisez des mendiants, vous êtes peinés cinq minutes puis ça passe, vous oubliez, vous passez à autre chose. Lui ne le peut pas. Alors, certes, ces malheurs là ne l’empêchent pas de dormir, mais qu’en est il, dès lors que cela le concerne directement, dès lors qu’il fait quelque chose qu’il sera à même de regretter. Jamais il ne pourra l’oublier, il ne pourra vivre que dans le remords, à jamais. Aussi, lorsqu’on lui demande qu’elle est pour lui la plus grande peine qu’il soit, il se contente de citer le propos attribué à Thémistocle par Cicéron lui même : je retiens même ce que je ne veux pas retenir et je ne peux pas oublier ce que je veux oublier.

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Niveau physique, Caleb est grand, brun, ses yeux plissés dissimulent des iris bleu clair et la barbe de trois jours qu'il arbore n'est pas vraiment une question de style, de philosophie, disons plutôt une question de flemme À part ça, il a du charisme, et pas qu'un peu. Pas vraiment besoin pour lui de parler lorsqu'il entre dans une pièce pour signaler sa présence, ni de hurler pour se faire entendre lorsqu'il prend part à une conversation, son charisme s'en charge pour lui. Il n’est pas réellement musclé, mais de toute façon, à quoi bon ? Il possède une triple cicatrice partant de sous son épaule gauche et courant sous forme de trois longues lignes le long de son torse en direction de son coeur. Cette cicatrice s’arrête peu avant le centre de son torse. Il aime à dire qu’il se l’ai faite au combat. En vérité, il se l’ai faite en tombant de son lit. Oui, ça peut paraître étrange, mais en fait, c’est une longue histoire. Quoi qu’il en soit, il s’agit sûrement de l’une des raisons pour lesquels Caleb n’aime pas sortir du lit. En plus de sa flemme légendaire, bien entendu. Niveau look, maintenant, comme son nom ne l’indique pas, Caleb nous vient tout droit de Londres. Et malgré le fait qu’il ai passé la majorité de son enfance, et donc bien plus des trois quarts de sa vie en américaine, il a toujours conservé une manière de s’habiller très anglaise. Il se plaît également à conserver son accent Londonien, et ne supporte pas la brutalité, le manque de savoir vivre, de délicatesse et de subtilité des Yankees.

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Le pouvoir de Caleb consiste à un rapport très spécial qu’il entretient avec l’adn, et plus précisément avec la part Gène X de l’adn. Il aime à dire qu’il est en mesure de voir comment les choses fonctionnent. En effet, il peut analyser et modifier cette part, qu’elle soit avoisinante ou en son sein. Autrement dit, l’analyse du Gène X lui permet d’être en mesure de détecter les mutants avoisinants et d’en décrire le pouvoir. La forme passive de son pouvoir constitue donc à faire de lui un radar à mutants. La forme active, quant à elle, se développe en une capacité à altérer l’adn, toujours dans le secteur attribué au Gène X. Autrement dit, il possède un certain contrôle sur le Gène X, qu’il soit avoisinant ou sien. Cela consiste à une modification du Gène X et donc du pouvoir lié, ce qui signifie que la forme active du pouvoir de Caleb consiste à assimiler les pouvoirs avoisinants, ou au contraire à les rétracter. Il faut cependant noter quelque chose à propos de ce pouvoir, et cela quel que soit son niveau : lorsqu’il s’agit d’agir sur le Gène X d’un tiers, que ce soit donc de le rétracter ou de l’assimiler, ce tiers doit se trouver dans le champs de vision de Caleb. Il ne peut rien faire face à un mutant qu’il ne voit pas. Il pourra simplement sentir sa présence, plus ou moins proche. Un mutant ayant la faculté de devenir invisible, ou passé maître dans le domaine de la cache furtive constituerait donc un sérieux problème pour Caleb.
Nivelage du pouvoir :

sphère

{ WOULD YOU PLEASE EXPLAIN

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River Arkworth vit le jour une après-midi d’hiver, au sein de l’hôpital privé du Sacred Hearth, basé au coeur des quartiers chics de Londres. Gamin unique d'une famille pas vraiment aisée, mais pas vraiment dans la dèche non plus, une famille moyenne de Londres, en quelque sorte, il apprit rapidement que l’essentiel n’était pas la richesse, car le plus riche des hommes pourrait également en être le plus rustre, non, l’essentiel était dans l’attitude. Il fallait en toute circonstance conserver ce détachement, cette délicatesse, cette aisance et ce sens du subtil si propre à l’aristocratie Londonienne. C'est dans ce cadre là, entre son journaliste de père, sa bibliothécaire de mère que grandit River, fréquentant les quartiers chics plus que les quartiers modestes dont il était provenant, dans le but d’apprendre chaque jour un peu plus de cette si étrange attitude que se plaisait à lui dicter son père. Nul ne sait réellement quand les pouvoirs de River se manifestèrent pour la première fois. D'ailleurs, River ne s'en rendit même pas compte. Personne ne s'en rendit réellement compte, en fait, car ses pouvoirs demeuraient latents tant qu'aucun mutant n'entrait en contact avec le garçon, or celui ci vivait entouré d'humains. Jusqu'au jour où un chauve en fauteuil roulant vint le voir, directement chez lui, en compagnie de ce vieil homme aux cheveux gris qui l’avait dès lors tant impressionné .. River avait huit ans, et le jour-même, il partait pour l'Institut pour Jeunes Surdoués Charles Xavier. Ce fut là que débuta réellement sa vie de mutant. Et ce fut là qu’il se trouva un nouveau père, en l’image d’Eric Lansherr avec qui il noua très rapidement une très particulière relation. Non, rassurez vous, il n’y eu aucun attouchement sur mineur, voyons, Lansherr n’est pas comme ça. Simplement, le garçon vit un mentor en le nom du maître du magnétisme. Mais rapidement, un schisme éclata au sein de l’Institut, et Lansherr le quitta. Bien entendu, River le suivit. Il fallait dire que depuis tout ce temps, Lansherr et River avaient passé suffisamment de temps ensemble pour que River en vienne à adopter la philosophie du vieil homme. River fut donc l’un des premiers membres de la Confrérie, bien que son jeune âge ne lui permette pas d’y faire grand chose. Or, le garçon passant son adolescence au sein de cette Confrérie, ce fut réellement là qu’il devint ce qu’il est, qu’il se forgea, et qu’il forgea sa psychologie, ainsi que sa culture. C’est même sûrement de là que lui vint son attitude de se rire de tout face à tant de non sens. Car, comme le disait Shakespeare, il n’y a ni bien ni mal, simplement des points de vue. Or, lorsqu’il voyait tous ses défenseurs de la paix, qui se tuaient à la tâche, au propre comme au figuré, pour que les mutants et les humains puissent cohabiter, alors qu’il n’y avait aucune cohabitation de possible, il fallait être logique, tout le monde s’accordait pour dire que les mutants étaient le stade supérieur de l’évolution, or jamais il n’y eu sur cette terre de cohabitation entre deux échelons différents de l’humanité. Tout cela était purement risible. Et ce fut également là qu’il se forgea sa nouvelle identité. Car River Arkworth n’était plus. Non, l’être qu’il était désormais était un Mutant, un Homo Superior qui croyait véritablement que les Mutants devaient trouver leur Terre Promise en cette planète plutôt que de chercher à sympathiser avec l’oppresseur, à l’image des hommes de foi d’autrefois qui, lassés de jouer les martyrs, partirent à la recherche de leur Terre Promise. Un passage des textes sacrés hébraïques traite d’ailleurs de cette histoire. Suite à la mort de Jésus, la Terre Promise fut offerte aux hommes par le biais d’une troupe menée par un ancien séparatiste. Or, River s’était amusé à faire le parallèle entre ces textes et la réalité. Si l’on pouvait considérer Charles Xavier comme Jésus, comme l’homme qui avait un temps été la raison avant que d’être dépassé et tué, alors, tout naturellement, Eric Lansherr était l’homme qui mènerait les Mutants, héritiers des hommes de foi, à la Terre Promise, à une ère où ils n’auraient plus à sympathiser avec leurs bourreaux. Car les textes sacrés désignent bien le dirigeant de la dite troupe comme le dénommé Judas lui même. Celui qui avait préféré se séparer de Jésus dès lors que leurs opinions avaient divergées. Celui qui avait été considéré par tous comme un traître avant que tous ne comprenne que la raison se rangeait en vérité de son côté. Celui qui les avaient menés à leur utopique rêve. Pour en revenir aux textes sacrés, on peut lire dans ceux ci que le plus fidèle des disciples de Judas se nommait alors Caleb. Ainsi (re)naquit Caleb Arkworth.

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La famille de Caleb va sûrement très bien, du moins aux dernières nouvelles, elle n’est pas morte, c’est l’essentiel. En fait, la dernière fois qu’il l’a vue, c’était lors de son départ pour l’Amérique et rien ne laisse penser qu’elle en est partie. Donc, si tout va bien, elle doit toujours être à Londres. Mais, en vérité, il n’a pas trop de contacts avec eux, pas spécialement parce qu’ils ne s’apprécient pas, ni même parce qu’il est mutant, qui plus est Confrériste, et eux humains, qui plus est Sapiens, mais .. simplement parce que c’est comme ça, c’est la vie, on finit toujours par s’éloigner des gens, tant mieux ou tant pis, c’est pas l’important. Bref, pas vraiment de famille pour Caleb, qui considère Eric Lansherr comme son mentor, le plaçant dans son estime comme un père de substitution. Pour le reste, Caleb s’entend assez bien avec les autres Confréristes, un peu moins avec les X-men, bien qu’en vérité, il n’a rien contre eux, en fait, il s’en fout assez d’eux. Il a un jour été des leurs, faut dire qu’il était encore un peu trop jeune pour réellement penser par lui même, maintenant il appartient à l’autre clan, c’est comme ça. Tant qu’ils ne l’empêchent pas de dormir. Mais pour ce qui est d’une réelle amitié, nan, il n’y a pas vraiment de personne en particulier dans la vie sociale de Caleb .. Tant qu’il peut dormir, ça lui va.

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Très belle fiche.

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